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Aux portes de la région du KHAM dans le Tibet historique A la frontière entre la Chine et le Tibet historique, on y rencontre toute sorte de minorités ethniques. Il y a bien sûr des TIBETAINS mais aussi des MIAO, appelés HMONG dans d’autres pays, et d’autres que je n’ai pas identifiés. Un mélange très intéressant.
Mes premières difficultés de voyage La première des difficultés est le froid. Le vrai souci est que les chambres ne sont pas chauffées. Le seul système de chauffage est constitué de couvertures électriques. Les locaux allument bien une espèce de résistance mais il faut être juste à côté pour sentir un peu de chaleur et il n’y en a qu’un, pour la pièce principale.
La plus dangereuse des difficultés est la route verglacée. Pour aller au village de JIAJU, je n’ai pas eu trop de soucis jusqu’à ce que la neige commence à tomber. La route est devenue très rapidement très glissante et la voiture n’était pas équipée pour ça. Résultats : une visite éclair de JIAJU et des virages sans parapets, en descente, en glissant, avec un chauffeur qui n’arrête pas de prier. Quand il dit après ça que la route pour TAGONG est pire que ça, et bien on change ses plans, on saute une étape et on va directement à KANGDING, un peu plus au sud.
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Depuis CHENGDU Réservée via ma guesthouse (SIM’S) : 138.5 Y dont 20 Y de commission - compter 43 Y de taxi pour s’y rendre en 20 minutes Départ du terminal de CHADIANZI à 06h30 et arrivée à 16h30. Il y a beaucoup de travaux sur la route et donc beaucoup d’arrêts.
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ZHAXI ZHUOKANG BACKPACKERS HOTEL 80 Y pour une chambre simple et grande avec salle de bain et eau chaude Propre, internet gratuit et une personne qui parle un peu anglais mais qui n’est pas là tout le temps. |
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En taxi « privé » Pour aller visiter le village de JIAJU. J’ai négocié une camionnette avec chauffeur à 100Y pour l’aller / retour et le temps d’attente sur place.
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Le village tibétain de JIAJU Même s’il était sous la neige et donc qu’on ne voyait pas trop les couleurs, on peut imaginer qu’il doit être vraiment charmant dans d’autres conditions climatiques. Hélas, je m’en souviendrai comme étant ma plus grande frayeur de voyage.
La visite de la ville A première vue l’architecture n’est pas si originale mais quand on commence à bien chercher on se rend compte de petits signes indiquant l’ethnie d’appartenance des habitants ou des propriétaires. Les gens étaient surpris de voir un étranger et ils se sont montrés vraiment très accueillants.
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